Welcome to the Roman Baths Blog!

This blog is a behind the scenes look at the Roman Baths in Bath. We hope you enjoy reading our stories about life surrounding the Roman Baths.



Friday 31 August 2012

關於…X光 (It's all about.... X-rays)


國家科學與工程週 (National Science and Engineering week)讓我們有機會看到一些在考古學中比較獨特的話題,其中一個就是X光攝影。對我而言,它是一個不可思議的東西。我們都聽說過X光 -大多數人由於醫療原因曾經使用X光掃描過身體某些部分 - 但事實上,對於考古學家來說它們也是一項非常有用的分析技術。


X光攝影(X-radiography)是一種電磁波,它使我們能夠創建圖像來展示一些肉眼看不見的面貌特徵和細節。 用X光掃描金屬物品來製造影像紀錄是很重要的,比如說了解一件文物的製造工藝,以及它的形狀和狀態。 X光還可以幫助識別被藏在腐蝕或凝固層的文物,這是一種不會影響或破壞出土文物的優秀科學檢驗方法。

基於這些原因,X光掃描成為文物保護過程中的常見部分。陳列於展示桌中的樣本全都是挖掘巴斯市中心的溫泉所得來的古蹟,它們被選中是因為檔案紀錄裡有它們的X光照片。


盡管X光在一些非常大的樣本或鉛合金上沒那麼有效,但一般而言,幾乎所有的金屬物件都應該接受X光掃描。 這是一項很有用的技術,它既可以顯示存留在腐蝕層的小工具,也可以顯現那些原本已失去表面細節的硬幣的識別標誌。易碎或是複合的文物通常會連帶土壤被整塊挖出,然後在實驗室通過X光掃描,找出文物的精確位置,以便進行更加小心的挖掘。由於X光圖像會顯現出分組或分層,用X光掃描能夠讓我們了解到一些有用的訊息。例如,用X光掃描一塊有硬幣貯藏箱的土壤塊,我們便可以知道以前的人是如何貯存硬幣的。

裝飾性表面的細節如鑲嵌物或搪瓷也可以被X光穿透,由於金屬之間的密度差異,非金屬塗層會變得顯而易見。 英國文化遺產 (English Heritage) 在考古金屬製品X光攝影的指引裡有很多美麗(漂亮)的例子可以證明 X光掃描下的金屬文物是多麼的有價值,它們甚至包括了一些鑲嵌細節和硬幣識別的圖像。(http://www.helm.org.uk/upload/pdf/X_Radiography.pdf?1331775979)就算只是對那些迷人的照片感到好奇,我也建議各位去瀏覽一下!

Source text: http://bathsbloggers.blogspot.co.uk/2012/05/its-all-about-x-rays.html


Translated by Ruby Chung - Cardiff University MA Translation Student



Thursday 30 August 2012

關於… 武器和工具 (It's all about..... Weapons and Tools)


國家科學與工程週(Science Week)在巴斯舉行期間,訪客受邀去參觀和接觸羅馬古浴場(Roman Baths)博物館收藏的一些文物。 我們會鼓勵訪客試想一下到底工具從中石器時代到新石器時代 (約西元前10,000年-約西元前3,200年)、銅器時代 (約西元前3,200年-約西元前700年)、鐵器時代 (約西元前700年-約西元100年)、一直到不列顛時期 (約西元43年-約西元400-500年) 是怎樣製造的。



我的「展示桌」上陳列了一些仿製的燧石工具和兩個新石器時代的燧石箭頭-- 一個來自於約克郡、另一個於1979年在巴斯挖掘國王浴池(King’s Bath)/ 「聖泉」(Sacred Spring)的過程中被發現。訪客很享受可以親手觸摸仿製的燧石工具,當中包括一把手斧、一把燧石刀、一把燧石鋸和一些用作清潔動物皮毛的燧石刮刀。


緊挨著燧石工具,訪客可以觸摸一把在布里斯托發現的屬於銅器時代有”插柄”的斧頭的仿製品,他們也可以仔細觀察一把屬於博物館收藏的銅器時代的凸緣斧和矛頭。



我們的訪客還能接觸到一團團於1990年在巴斯伊斯頓(Bath Easton)旁道挖掘出來的金屬加工廢料。 在雅芳山谷(Avon Valley)和環巴斯山區中,分布着許多鐵器時代的居所,比如巴斯安普敦下區(Bathampton Down)的營地。



最後,展示桌上有一張仍在羅馬古浴場博物館展出的銅弩墊圈(Ballista washer)的照片。這一塊根據我們其中一個訪客形容為“看起來像一個栓”的圓形銅鑄塊 (說起來真的有點像呢!) ,它與其它三個墊圈一起被用來組裝在重木框架的四個角落成為羅馬弩炮 (Roman Ballista) 的前段。


弩炮是一個攻城武器,它有點像一個很大的十字弓。它可以用來射箭或是發射一些大概六英吋至一英呎長的弩箭。1979年,在挖掘國王浴池裡的聖泉時也發現了銅弩墊圈。當它被發現的時候,考古學家們還以為,那些銅弩墊圈是屬於

他們為了方便挖掘,用來抽走國王浴池裡的水的那個泵! 我們也告訴遊客在意大利和伊拉克也發現了類似的”墊圈”。實驗考古學的證明讓專家們可以從墊圈的大小辨別弩炮的原本尺寸。 我們擁有的是最小的,所以它大概是來自比較小的武器。



非常有意思的是,為甚麼那些墊圈會跟其他的羅馬貢品一起出現在聖泉(Sacred Spring) 裡面呢? 或許它是作為感謝或是為即將到來的戰鬥祈福的祭品,被羅馬炮兵扔進聖泉的?讓我們的訪客感到最有趣的是,這些弩墊圈是在燧石工具中展出的新石器時代燧石箭頭的發掘地附近發現的。 考古學家認為在羅馬人來到巴斯前,聖泉的位置就已舉足輕重。 或許這些燧石箭頭是作為祭品或是許願物獻給當時的神明,而這些神明比後來入主巴斯的羅馬智慧女神麥涅瓦(Minerva) 或泉水女神蘇利絲(Aqua Sulis)還要早上千年。

Source text: http://bathsbloggers.blogspot.co.uk/2012/05/its-all-about-weapons-and-tools.html


Translated by Ruby Chung - Cardiff University MA Translation Student



Wednesday 29 August 2012

關於…金屬 (It's all about.... Metal)


幾個星期前,羅馬古浴場(Roman Baths)舉辦了令人期待的國家科學與工程週(Science and Engineering week)!整個星期的每一天都會有很多不同的科學實驗和展示桌。 其中一個展示桌是由我來負責,而我選擇了論金屬。 這是關於當時羅馬人在整個羅馬帝國使用金屬的真實內幕。



黃金

時至今日仍是世界上最令人渴求的金屬之一! 羅馬帝國的黃金是來自於不同的開採地,包括西班牙、葡萄牙和威爾斯的Dolaucothi。金屬的柔軟性和延展性令它很容易被塑造成不同的形狀。它是一種很受歡迎的金屬,常被打造成首飾如項鍊、手鍊、胸針和戒指。



羅馬貨幣依賴大量的銀條。銀在羅馬帝國幾處不同的地方開採,包括高盧、希臘和小亞細亞。據估計,在第二世紀中期有10,000噸銀在市場流通。這種有光澤又柔軟的金屬常被製成首飾、硬幣和餐具。銀也被用於治療感染或疾病。



由於鉛的易開採性和易用性,它在羅馬世界得以廣泛使用。這種金屬在不同的地方開採,包括中歐、西班牙、不列顛和希臘。由於其高度的延展性和可鍛性,鉛常被用於建造羅馬的管道。鉛的符號為Pb,是拉丁文Plumbum的縮寫。正如你所想像的,Plumblum衍生成後來的英文單詞”Plumbing”。



鐵在全世界最普遍的元素中排行第六。據估計,在羅馬帝國最興盛的時期,每年約有82,500噸鐵在市面流通。在羅馬的統治下,鐵成為一種頗為普及的金屬,它的用途也增多不少。這種金屬被用來製作武器和羅馬人日常生活相關的工具。

青銅

青銅主要是一種由銅和1/3錫組成的合金。青銅在不同的地方開採,包括高盧、塞浦路斯和阿拉伯。羅馬人會推倒在帝國本土的宗教的青銅雕塑,再溶掉它們來製造盔甲、武器、工具和硬幣。由於羅馬帝國的擴張,為了幫助羅馬的經濟預算,在大部份情況下,像青銅這樣沒有那麼珍貴的金屬便取代了黃金或銀來作硬幣。

白鑞

白鑞是一種由80-90%錫和10-20%鉛組成的合金。錫是從伊比利亞、波斯和不列顛尼亞開採出來的。白鑞是一種很好的熱導體,它有時會用於製造煮食工具和餐具。倖存的白鑞樣本是在不列顛尼亞發現的,大概回溯到公元第3和第4世紀。

Source text: http://bathsbloggers.blogspot.co.uk/2012/04/its-all-about-metal.html


Translated by Ruby Chung - Cardiff University MA Translation Student



Tuesday 28 August 2012

關於…玻璃 (It's all about..... Glass)


我真的很喜歡為了國家科學與工程週(National Science and Engineering Week)而把所有關於玻璃的東西集合在一張展示桌上,因為我由此發現了很多關於玻璃的歷史以及玻璃製造術背後的科學。這種享受程度跟瀏覽迷人的文物真的毫無關聯!



我選擇了完全契合時間軸的對象來展示玻璃製造工藝的發展,用來詮釋了從2000年前便開始使用黑曜石 (唯一一種自然產生的玻璃,由冷卻凝結的熔岩形成)至現代玻璃首飾所使用的技術和著色劑。羅馬人通過發明吹製玻璃術而徹底改革了玻璃製造術。 這種技術可行是由於原子和分子會在熔融態玻璃中自由移動,有別於處在相同情形下的多數其它物質,它們不會在冷卻時形成結晶狀。 冷卻中的玻璃仍舊有柔韌性,在它變硬之前可以籍著用一條長管吹一個氣泡進去來塑形和拉成不同的形狀



吹製玻璃術沿用至今,同時現代玻璃的構成也與羅馬時期的實例非常相似,當中包括:



• 沙 (二氧化矽),「成形」。佔整體混合物的65-70%

• 碳酸鈉,「水溶液」。佔整體混合物的15%,讓它能更有效地熔解

• 石灰,穩定劑。佔整體混合物的10%,讓它更耐用且增加化學穩定性

• 變形、破損或是舊船的碎片,「碎片」,用來降低熔化的溫度

• 各種雜質或著色劑構成剩餘的5-10%



這些著色劑通常採用金屬粉末,古代用來為玻璃上色的著色劑同樣是耳熟能詳的。一些最常見的包括:



• 鐵 (Fe),營造出淺藍色、深綠色、琥珀色或黑色。過去這通常用於為酒瓶上色,而鉻(Cr) 在今天則比較常用。

• 錳(Mn),通常用作紫色或黃色,有時會用作漂白劑 – 透明玻璃廣受好評

• 銅(Cu),常用作藍色、綠色、寶石紅或不透明的紅色,但最容易辨認的是它們呈現的藍綠色

• 鈷(Co),也用於濃艷的藍色,尤其是在含有草木灰的玻璃中 (燃燒木和鳳尾草後的灰燼)



還有一些稀有的著色劑如鈾(U),當19世紀的玻璃工人還未察覺到會有輻射危險時,被用其製造近乎螢光的黃色!


令人難以置信的是這些古老的技術和配方在現代世界仍然被廣泛使用,但我覺得最驚人的是他們發明的概念—我想知道到底是甚麼原因會讓人決定把一枝管插進一團熾熱的熔沙裡吹呢!?

Source text: http://bathsbloggers.blogspot.co.uk/2012/04/its-all-about-glass.html


Translated by Ruby Chung - Cardiff University MA Translation Student


Monday 27 August 2012

Connecting Collections - A Case of Translation




Hello everyone! My name is Ruby and I am a postgraduate from Cardiff University studying translation studies. It is my pleasure to be a part of the translation training placement at The Roman Baths. It was an amazing experience! We had a guided tour offered by Helen who is a Collection Assistant at The Roman Baths Museum. I have learnt a lot about the stories, knowledge and operation behind a museum, for example the decent temperature to store the artefacts, the process to identify, record and label them properly, etc, and none of these tasks are easy jobs. The Roman Baths, being the most well-preserved Roman public bathing site within Europe, they have various collections of the Romans. Lastly, here is a photo of me and the Great Bath. I really enjoy my placement in the Roman Baths and would definitely love to go again!



大家好! 我叫Ruby,來自於卡迪夫大學翻譯研究系。很高興這次可以以實習翻譯員的身份在巴斯羅馬古浴場博物館工作,這是一段非常有意思的經歷! Helen是羅馬古浴場博物館的收藏品助理,也是這次實習活動的負責人,在實習過程中,她負責介紹並帶領我們遊覽館內的設施。 從她的介紹說明中,我知道了不少博物館經營背後的故事、學到了相關的知識,例如保存文物的最佳溫度、鑑定和紀錄文物的過程等。而這些工作都不是紙上談兵就能做到的。羅馬古浴場是目前歐洲保存最完整的古浴場遺址,其博物館內陳列了各式各樣的古羅馬收藏品。這次在羅馬古浴場博物館的實習讓我受益匪淺,如果有機會的話希望能夠再次回來工作。在此附上我在大浴池遺址旁的留影,以作紀念!

Ruby Chung - Cardiff University MA Translation Student


Friday 24 August 2012

Tout sur... La radiographie (It's all about... X-rays)

National Science and Engineering Week (la Semaine nationale de la science et l'ingénierie) nous a donné l’occasion pour découvrir quelques aspects moins communs de l'archéologie. Parmi ces aspects, la radiographie est toujours restée un mystère pour moi. Nous avons tous entendu parler de la radiographie, et la plupart des gens a déjà passé une radiographie pour des raisons médicales, mais la radiographie est aussi une technique d'analyse très utile pour les archéologues!

Zosia au stand radiographie
La radiographie est un type de radiation électromagnétique pouvant créer des images qui montrent les caractéristiques et les détails invisibles qui ne à l'œil nu. Il est essentiel de radiographier les objets en métal pour créer un souvenir visuel de la composition de l’objet ainsi que sa forme et sa condition. La radiographie peut aussi identifier un objet s’il est couvert par des couches de corrosion ou de concrétion. La radiographie est une méthode d'examen scientifique qui ne dérange ni ne détruit les objets de quelque manière que ce soit.

Pour ces raisons, les objets sont souvent radiographiés pendant le processus de conservation. Tous les objets choisis pour l'exposition font partie de l'excavation de Thermae Spa en centre ville de Bath, et ils ont été sélectionnés pour la place qu’occupe leurs radiographies au sein des archives.

Une radiographie d'une pièce de monnaie qui fait tirée des excavations SPA98.
En général, presque tous les objets en métal devraient être radiographiés, mais c'est moins efficace pour les grands objets ou les alliages de plomb. Cette technique est utile parce qu'elle peut démasquer des petits outils piégés dans la corrosion et elle peut aussi exposer les marques d'identification sur les pièces de monnaie qui ont perdu les détails sur leur surface. Les découvertes fragiles ou complexes sont souvent soulevées dans un bloc de terre, et la radiographie est utilisée pour voir et localiser leur contenu afin de les fouiller d’une manière plus prudente dans un laboratoire. Par exemple, si on radiographit un bloc de terre qui contient un trésor de pièces de monnaie, on peut apprendre comment il a été déposé, car l'image va révéler les groupes ou les couches.

Les détails ornementaux sur la surface des objets, comme l'incrustation ou l'émail, peuvent aussi être vus avec la radiographie. Les couches non-ferreuses deviennent visibles au cause de la différence entre la densité de chaque métal.

Les recommandations du groupe English Heritage sur la radiographie des articles de ferronnerie archéologiques (http://www.helm.org.uk/upload/pdf/X_Radiography.pdf?1331775979) (en anglais) contiennent beaucoup d'images qui montrent la valeur de la radiographie des articles de ferronnerie. Ce site contient des images de l'incrustation et de l'identification des pièces de monnaie. Je vous conseille de regarder ce site, même si ce n’est que pour vous émerveiller devant de belles images!

Source text: http://bathsbloggers.blogspot.co.uk/2012/05/its-all-about-x-rays.html


Translated by Sarah Uhl - Cardiff  University MA Tanslation Student.


Thursday 23 August 2012

Tout sur.. Les armes et les outils (It's all about... weapons and tools)

Pendant la National Science and Engineering Week (la Semaine nationale de la science et l'ingénierie) des Roman Baths (Bains romains), les visiteurs ont été invités à regarder et à toucher quelques-uns des objets de la collection du musée. Les visiteurs étaient encouragés à considérer la création d’outils de la période Mésolithique à la période Néolithique (environ 10, 000 et 3200 ans av. J.-C.); à l'âge de bronze (environ 3, 200 et 700 ans av. J.-C.); à l'âge de fer (environs 700 ans av. J.-C. et 100 ans ap. J.-C.); et à la période Britto-romaine (environ 43 et 400-500 ans ap. J.-C.).

Mon stand présentait des répliques d'outils en silex et deux pointes de flèche en silex néolithiques - une qui provenant du Yorkshire et l’autre découverte pendant les excavations du King's Bath (le Bain du Roi) / 'Sacred Spring' (la source sacrée) de 1979. Les visiteurs se sont amusés en manipulant les répliques d'outils en silex, comprenant un biface, un couteau en silex, une scie en silex et quelques grattoirs pour gratter la peau des animaux.

Moi et mon stand.

À côté des outils en silex, les visiteurs pouvait manipuler une réplique d'une hache à douille de l'âge de bronze qui découverte à Bristol, une hache plate, et une pointe de lance qui font partie de la collection du musée.

Les visiteurs pouvaient aussi toucher des morceaux de déchets de métal découverts pendant l'excavation de la rocade de Bath-Easton en 1990. Il y a en effet un grand nombre de vestiges de l'âge de fer dans la vallée d'Avon et sur les collines qui entourent Bath, comme le campement à Bathampton Down.

Pour finir, l'exposition présentait la photo d'une rondelle en bronze issue d'une baliste exposée au Roman Baths Museum (le musée des bains romains). Selon un de nos visiteurs, ce morceau de bronze coulé ressemble << un peu à une bonde, >> et on ne peut pas dire qu’il ait tort! Cet objet était conçu pour rester, avec trois autres, dans les quatre coins d'une grande charpente qui servait comme la pièce avant d'une baliste romaine.

Rondelle pour baliste romaine de la collection BATRM 1983.13.b.1
Une baliste est une arme de siège un peu comme une très grande arbalète. Elle tirait des flèches ou des carreaux d’une longueur de 15 à 30 centimètres. La rondelle en bronze a été découverte pendant l'excavation du Sacred Spring dans le King's Bath en 1979. Quand elle a été trouvée, les archéologues ont cru qu'elle faisait partie de la pompe moderne qu'ils utilisaient pour tirer l'eau du King's Bath afin de le fouiller! J’ai dit aux visiteurs que quelques autres de ces 'rondelles' ont été trouvées en Italie et en Iraq, et que l'archéologie expérimentale a démontré que la taille de la rondelle détermine la taille de la baliste dont elle faisait partie. La notre est une des rondelles les plus petites, et provient donc probablement d'une petite arme.

Ce qui est intéressant est la manière dont la rondelle est arrivée dans la Sacred Spring avec les autres vestiges romains. Peut-être la rondelle a-t-elle été jetée dans la Sacred Spring par un soldat d'artillerie comme don pour remercier les dieux ou comme prière de vaincre dans une bataille imminente? Les visiteurs ont trouvé intéressant le fait que la rondelle ait été trouvée près d'une pointe de flèche Néolithique en silex qui faisait partie de l'exposition. Les archéologues croient que le site de la Sacred Spring avait de l'importance avant l'arrivée des romains à Bath. Peut-être la pointe de flèche en silex a-t-elle été jetée dans la source comme un don, ou un don votif, aux dieux qu'on croyait être là des milliers d'années avant l'arrivée de la déesse Minerve ou Aquae Sulis à Bath.

Source text: http://bathsbloggers.blogspot.co.uk/2012/05/its-all-about-weapons-and-tools.html

Translated by Sarah Uhl - Cardiff University MA Tanslation Student.

Wednesday 22 August 2012

Tout sur... Le métal (It's all about... metal)

Il y a quelques semaines, les Roman Baths (les bains romains) ont connu leur formidable Science and Engineering Week (la Semaine nationale de la science et l'ingénierie)! Chaque jour pendant une semaine il y a eu des expositions et des expériences scientifiques. J'ai créé une de ces expositions, et j'ai choisi de parler des métaux. Voici tous les détails sur les métaux utilisés à l'époque de l'empire romain.

Préparation de l’exposition avec Zosia.
L'or

Un des métaux les plus prisés même aujourd'hui! Dans l'empire romain, l'or était extrait de beaucoup de lieux comme l'Espagne, le Portugal et Dolaucothi au Pays de Galles. Les caractéristiques tendres et la malléabilité de ce métal ont rendus facile la formation de l'or dans des formes différentes. L'or était le métal préféré pour la fabrication de bijoux comme les colliers, les bracelets, les broches, et les bagues.

L'argent

La monnaie romaine comptait sur des grandes réserves de lingots d'argent. Dans l'empire romain, l'argent était extrait de beaucoup de lieux comme la Gaule, la Grèce et l'Asie mineure. Au milieu de deuxième siècle on estime qu’il y avait 10,000 tonnes d'argent en circulation. Ce métal brillant et tendre était utilisé pour la fabrication de bijoux, de pièces de monnaie, et d’ustensiles. L'argent était aussi utilisé pour traiter les infections et les maladies.

Le plomb

Dans l'empire romain, le plomb était communément utilisé parce qu'il était facile à extraire et à utiliser. Ce métal était extrait de beaucoup de lieux comme l'Europe centrale, l'Espagne, la Grande-Bretagne et la Grèce. Le plomb était utilisé pour la fabrication de la tuyauterie romaine en raison de sa malléabilité et de sa ductilité. Le symbole du plomb est Pb, qui est l'abréviation du mot latin Plumbum. Comme vous pouvez le deviner, le mot français <> vient de <>

Le fer

Le fer est le sixième élément le plus commun dans l'univers. Au point culminant de l'empire romain, on estime qu’il y avait environ 82500 tonnes de fer en circulation chaque année. A cette époque, le fer est devenu un métal très populaire, et l’utilisation du fer a augmenté. Ce métal était utilisé pour la fabrication d’armes et d’outils pour la vie quotidienne des Romains.

Le bronze

Le bronze est un alliage de cuivre et 1/3 étain. Le cuivre était extrait de beaucoup de lieux comme la Gaule, Chypre, et l'Arabie. Les Romains ont démoli les sculptures en bronze des religions locales dans leur empire pour les fondre afin de créer des armures, des armes, des outils, et de la monnaie. Après l'agrandissement de l'empire, les Romains ont utilisé des métaux moins précieux comme le bronze pour la fabrication de la monnaie au lieu de l'or ou de l'argent, pour des raisons économiques.

L'étain

L'étain est un alliage de 80% à 90%  étain et 10% à 20% plomb. L'étain était extrait de beaucoup de lieux comme l'Ibérie, la Perse, et la Grande-Bretagne romaine. L'étain conduit bien la chaleur, il est ainsi utilisé pour la fabrication d’ustensiles de cuisine et de table. Aujourd’hui encore, il existe des objets en étain datant du 3ème et 4ème siècle et provenant de la Grande-Bretagne romaine.

Source text: http://bathsbloggers.blogspot.co.uk/2012/04/its-all-about-metal.html


Translated by Sarah Uhl - Cardiff University MA Tanslation Student.

Tuesday 21 August 2012

Tout sur... Le verre (It's all about.... glass)


J’ai adoré créer l'exposition sur le verre pour la National Science and Engineering Week (la Semaine nationale de la science et l'ingénierie) parce que j'ai appris beaucoup de choses sur l’histoire du verre et la science de la fabrication du verre. Mon plaisir n’était pas seulement d’admirer de beaux objets, je vous le jure !

Mon stand et moi…
Les objets que j'ai choisis étaient parfaits pour une chronologie qui montrait le développement des techniques de fabrication du verre et leurs emplois aussi bien dans la fabrication de l'obsidienne (le seul verre naturel, fait à partir de lave) que de bijoux en verre modernes faits en utilisant les techniques et les teintures développées il y a plus de 2000 ans.

Ce sont les romains qui ont transformé la fabrication du verre avec l'invention du soufflage de verre. Cette technique est efficace parce que les atomes et les molécules de verre fondu bougent librement et ne se solidifient pas en forme de cristal quand le verre se refroidit comme la plupart des autres matériaux. Le verre en train de se refroidir reste souple et donc peut être manipulée en y faisant des bulles avec un long tube. Le verre peut être modelé de quelque forme que ce soit avant de durcir.

La technique de soufflage du verre est encore utilisée aujourd'hui et la composition du verre moderne est très proche de celle des objets romains. Elle comprend:

• Du sable (la silice), le <>. 65-70% du mélange total.

•De la soude, le <>. 15% du mélange total, elle rend la solidification du verre plus efficace.

• De la chaux, le stabilisant. 10% du mélange total, elle rend le verre plus durable et résistant aux produits chimiques.

• Des morceaux de récipients difformes, cassés, ou vieux, appelés <>, qui baissent la température nécessaire pour la fusion.

• Des impuretés et teintures diverses constituant les 5-10% restant.

Les teintures sont pour la plupart des métaux en poudre et les teintures utilisées pour colorer le verre ancien sont toujours bien connues. Parmi les teintures les plus utilisées on trouve:

• Le fer (Fe), qui donne un bleu clair, un vert bouteille, une couleur ambre, ou un noir. Le fer est souvent utilisé pour colorier les bouteilles de vin, mais le chrome (Cr) est plus souvent utilisé aujourd'hui.

• Le manganèse (Mn) était autrefois utilisé pour donner un violet ou un jaune ou bien pour décolorer. Le verre transparent était de grande valeur.

• Le cuivre (Cu), qui donne un bleu, un vert, un rouge rubis ou opaque, mais plus connus pour donner une couleur turquoise.

• Le cobalt (Co), qui donne un bleu chaud et profond, en particulier dans le verre qui contenant du potasse (bois brûlé et fougère)

Au XIXème siècle, des teintures plus étranges comme l’uranium étaient utilisées par les verriers qui ne connaissaient rien des dangers de la radiation et donnaient un jaune presque fluorescent!

Verre romain de la Collection du Musée BATRM 2003.22.8
C'est formidable que ces techniques et recettes anciennes soient encore utilisées fréquemment dans le monde moderne, mais ce que je trouve le plus incroyable est le concept de leur invention. En effet, quelle sorte de personne se résout à planter un tuyau dans une motte de sable chauffée à blanc pour y souffler dedans?!

Source text: http://bathsbloggers.blogspot.co.uk/2012/04/its-all-about-glass.html

Translated by Sarah Uhl - Cardiff  University MA Tanslation Student.

Friday 17 August 2012

Es dreht sich alles um... Röntgenstrahlung (It's all about.... X-rays)

Die Nationale Woche der Wissenschaft und Technik bot uns die Möglichkeit ungewöhnlichere Themen der Archäologie zu beleuchten und eines, das schon immer ein Rätsel für mich darstellte, ist Röntgenografie. Wir alle haben von Röntgenstrahlen gehört - die meisten Menschen wurden schon einmal an irgendwelchen Körperteilen aus medizinischen Gründen geröntgt - aber nun stellt sich heraus, dass das Röntgen auch eine sehr hilfreiche analytische Methode für Archäologen ist!

Zosia am Stand für Röntgenstrahlung
Röntgenografie ist ein Form von elektromagnetischer Strahlung, welche es uns ermöglicht Bilder mit Merkmalen und Details, die für das bloße Auge unsichtbar sind, herzustellen. Bei metallischen Röntgenobjekten ist es wichtig ein bildliches Protokoll zu erstellen, das nicht nur des Artefakts Form und Zustand zeigt, aber auch wie es angefertigt wurde. Röntgenbestrahlung kann auch bei der Identifikation eines Objektes behilflich sein, wenn es durch Schichten von Korrosion oder Konkretion bedeckt ist. Die Röntgenografie verkörpert eine exzellente wissenschaftliche Untersuchungsmethode ohne die archäologischen Funde in jeglicher Weise zu beeinflussen oder zu zerstören.

Aus diesen Gründen werden Artefakte im Rahmen des Erhaltungsprozesses geröntgt. Die Objekte, die für den Demonstrationsstand ausgewählt wurden, stammen alle von Ausgrabungen in den Thermalbädern Thermae Spa im Zentrum Baths und sie wurden ausgewählt, da Röntgenbilder von den Artefakten im Archiv vorhanden sind.

Röntgenbild einer römischen Münze aus den SPA98 Ausgrabungen
Generell gesprochen sollten fast alle Metallobjekte geröntgt werden, obwohl die Methode weniger effektiv bei sehr großen Proben oder Bleilegierungen erscheint. Es ist dennoch hilfreich, da es an kleineren Gegenständen, die sich in Korrosion befanden, diese verdeutlicht und Kennzeichen auf Münzen mit abgetragenen Oberflächen ans Licht bringen kann. Zerbrechliche oder komplizierte Funde werden oft in einem Erdblock geborgen und geröntgt, um das Objekt für eine umsichtigere Ausgrabung im Labor genau zu lokalisieren. Beispielsweise kann das Röntgen eines Erdblock, der einen Münzhort beinhaltet, Aufschluss darüber geben, wie die Münzen deponiert wurden, da das Röntgenbild die Anordnungen und Schichten aufdeckt.

Dekorative Muster an Oberflächen, so wie Einlegearbeiten oder Emaille, können ebenfalls durch die Röntgenbestrahlung erkannt werden und Schichten, die kein Eisen enthalten, werden sichtbar, aufgrund der verschiedenen Dichte zwischen den Metallen. Die Richtlinien der englischen Denkmalschutzorganisation English Heritage für Röntgenografie von archäologischen Metallarbeiten (http://www.helm.org.uk/upload/pdf/X_Radiography.pdf?1331775979 ) beinhalten einige tolle Beispiele, die genau zeigen, wie wertvoll das Röntgen von Metallartefakten sein kann, einschließlich Fotos von Einlegearbeiten und der Identifikation von Münzen. Ich kann wirklich empfehlen einen Blick darauf zu werfen, sei es auch einfach nur um die wunderschönen Bilder zu bewundern!

Source text: http://bathsbloggers.blogspot.co.uk/2012/05/its-all-about-x-rays.html

Translated by Mirjam Zdybel - Cardiff  University MA Tanslation Student.


Thursday 16 August 2012

Es dreht sich alles um... Waffen und Werkzeuge (It's all about..... weapons and tools)

Während der Woche der Wissenschaft in den Roman Baths wurden Besucher dazu eingeladen einen Blick auf die Artefakte unserer Museumssammlung zu werfen und selbstständig Hand anzulegen. Wir ermutigten sie sich vorzustellen wie Werkzeuge in uralten Zeiten hergestellt wurden: von der Mittelsteinzeit zur Jungsteinzeit (ca. 10.000 - ca. 3.200 v.Chr.), in der Bronzezeit (ca.3.200 - ca.700 v.Chr), der Eisenzeit (ca.700 v.Chr. - ca.100 n.Chr.) und in der romano-britischen Zeit (43 - 400-500 n.Chr.).

Mein Demonstrationsstand stellte Nachbildungen von Handwerkzeugen aus Feuerstein und zwei Pfeilspitzen aus der Jungsteinzeit zur Schau, wobei eines aus Yorkshire stammt und das andere bei den Bädern während der Ausgrabungen des King's Bath / 'Sacred Spring' (die Heilige Quelle) in 1979 gefunden wurde. Die Besucher erfreuten sich an dem Umgang mit den Feuersteinhandwerken: Zur Verfügung stand ein Faustkeil, ein Messer und eine Säge aus Feuerstein und einige Spachtel aus dem selben Material, die zur Reinigung von Tierhäutern verwendet wurden.

Ich und mein Demonstrationsstand

Neben den Feuersteinwerkzeugen durften die Besucher eine Nachbildung einer Gussform des Kopfes eines Tüllenbeils aus der Jungsteinzeit anfassen, das in Bristol entdeckt wurde. Ein Randleistenbeil aus der Bronzezeit und eine Speerspitze aus der Museumssammlung waren ebenfalls unter den erkundeten Objekten.

Klumpen aus den Überresten einer Metallverarbeitung, die 1990 in einer Umgehungsstraße in Batheaston ausgegraben wurden, durften auch angefasst und in die Hand genommen werden. Es gibt etliche Siedlungen aus der Eisenzeit im Avon Valley und auf den Hügeln um Bath herum, wie etwa das Lager in Bathampton Down.

Schließlich bietet unser Demonstrationsstand auch ein Foto von einem Bronzedichtungsring einer Balliste, der in unserem Roman Baths Museum ausgestellt ist. Dieses runde Objekt aus Gussbronze „sieht ein wenig aus wie ein Stöpsel“, behauptete ein Besucher, und da hat er einfach recht! Es wurde hergestellt, um mit drei weiteren Ringen an den vier Ecken eines schweren Holzrahmens zu haften, welches das vordere Stück einer römischen Balliste ausmacht.

Römischer Dichtungsring einer Balliste aus der Roman Baths Sammlung BATRM 1983.13.b.1

Eine Balliste war eine Belagerungswaffe und einer sehr großen Armbrust ähnlich, die Pfeile oder Bolzen abfeuerte, die zwischen 15 und 30 cm lang waren. Der Bronzedichtungsring wurde auch während der Ausgrabungen in der Sacred Spring im King's Bath in 1979 gefunden. Als es entdeckt wurde dachten die Archäologen, es gehöre zu der modernen Pumpe, die sie dazu benutzten Wasser aus dem King's Bath zu pumpen, um die Ausgrabungen ausführen zu können! Unseren Besuchern wurde erklärt, dass ähnliche Dichtungsringe in Italien und im Irak gefunden wurden und dass experimentelle Archäologie herausfand, dass die Größe des Dichtungsrings den Experten die Größe der Balliste, von der er stammt, vermittelt. Unser ist einer der kleinsten Versionen, weshalb er wahrscheinlich von einer kleinen Waffe entsprang.

Es ist interessant herauszufinden zu versuchen, wie der Dichtungsring in die Sacred Spring gelang, samt anderen Gaben der römischen Zeit, in die Sacred Spring gelangte. Möglicherweise wurde er als Opfergabe von einem Soldaten der römischen Artillerie als Dank oder als ein Gebet um Glück in einer kommenden Schlacht zu bitten in die Quelle geworfen? Was unsere Besucher besonders neugierig machte war, dass der Dichtungsring der Balliste in der Nähe der Feuersteinpfeilspitze aus der Jungsteinzeit, welches mit den Feuersteinwerkzeugen ausgestellt war, entdeckt wurde! Archäologen vermuten, dass der Ort der Sacred Spring von großer Wichtigkeit war, bevor die Römer nach Bath kamen und vielleicht wurde die Feuersteinpfeilspitze als Opfer- oder Weihgabe in die Quelle geworfen, um den Göttern zu huldigen - welche auch immer zu der Zeit, 1000 Jahre bevor die römische Göttin Minerva oder Aquae Sulis in Bath erschien, angebetet wurden.

Source text: http://bathsbloggers.blogspot.co.uk/2012/05/its-all-about-weapons-and-tools.html

Translated by Mirjam Zdybel - University of Wales Cardiff MA Tanslation Student.



Wednesday 15 August 2012

Es dreht sich alles um... Metalle (It's all about.... Metal)



Vor einigen Wochen veranstalteten die Roman Baths die faszinierende Nationale Woche der Wissenschaft und Technik ("National Science and Engineering Week“)! An jedem Tag der besagten Veranstaltung fanden Experimente an Demonstrationsständen statt und einer dieser Stände stammte von mir. Ich entschied mich für das Thema Metalle. Die folgende Darstellung repräsentiert einen Einblick in die Metalle, die die Römer im Römischen Reich zur Verfügung hatten.

Bei der Planung meines Standes mit Zosia
Gold

Immer noch eines der begehrtesten Metalle auch in der heutigen Zeit! Im Römischen Reich wurde Gold an den verschiedensten Orten geschürft, einschließlich Spanien, Portugal und Dolaucothi in Wales. Aufgrund seiner weichen Konsistenz und Geschmeidigkeit ließ sich es leicht in verschiedene Formen schlagen. Daher war es das bevorzugte Metall für die Herstellung von Schmuck, wie etwa Ketten, Armbändern, Broschen und Ringen.

Silber

Die römische Währung war auf einen großen Vorrat an Silberbarren angewiesen. Silber wurde in vielen Orten des Reiches geborgen, einschließlich in Gallien, Griechenland und Kleinasien. In der Mitte des zweiten Jahrhunderts wurde geschätzt, dass sich 10.000 Tonnen Silber im Umlauf befanden. Dieses weiche, glänzende Metall wurde in Schmuck, Münzen und alltägliche Gegenstände umgewandelt und es wurde auch zur Behandlung von Infektionen und Krankheiten verwendet.

Blei

Blei wurde sehr häufig im Römischen Reich benutzt angesichts seiner leichten Gewinnung und da es einfach zu verarbeiten war. Dieses Metall wurde in mehreren Orten gefunden, mit unter in Zentraleuropa, Spanien, Britannien und Griechenland. Blei wurde in römischen Rohrarbeiten verwendet aufgrund seiner weichen und stark formbaren Konsistenz. Sein Elementsymbol ist Pb, welches die Abkürzung für das lateinische Wort Plumbum darstellt. Plumbum, wie ihr wohl vermutet habt, ist die Ableitung für das heutige Wort „plumbing“, zu deutsch „Klempnerarbeit“.

Eisen

Eisen ist das 6.-häufigste Element im Universum. Während seines Höhepunkts zirkulierten geschätzte 82.500 Tonnen Eisen jährlich im Römischen Reich. Unter römischer Herrschaft wurde Eisen sehr beliebt und vermehrt genutzt. Es wurde zur Herstellung von Waffen und Werkzeugen für den täglichen Gebrauch der Römer verwertet.

Bronze

Bronze stellt eine Legierung dar, die hauptsächlich aus Kupfer und zu 1/3 aus Zinn besteht. Kupfer wurde an diversen Orten geschürft, einschließlich Gallien, Zypern und Arabien. Die Römer zerstörten örtliche religiöse Skulpturen ihrer unterlegenen Gegner, um das Metall anschließend zu schmelzen und in Rüstungen, Waffen, Werkzeuge und Münzen zu verarbeiten. Als das Römische Reich sich vergrößerte, wurden weniger wertvolle Metalle, wie etwa Bronze, anstatt von Gold und Silber zur Herstellung von Münzen genutzt, um den römischen Haushalt aufzustocken.

Hartzinn

Hartzinn ist eine Legierung, die sich zu 80-90% aus Zinn und zu 10-20% aus Blei zusammensetzt. Zinn wurde an verschiedenen Regionen geschürft, wie etwa in Iberien, Persien und dem römischen Britannien. Hartzinn beweist sich als guter Wärmeleiter und wird gelegentlich für Koch- und Tafelgeschirr verwendet. Noch heute können erhaltene Gegenstände aus Hartzinn aus dem römischen Britannien des dritten und vierten Jahrhunderts nach Christus gefunden werden.


Source text: http://bathsbloggers.blogspot.co.uk/2012/04/its-all-about-metal.html

Translated by Mirjam Zdybel - Cardiff University MA Tanslation Student.



Tuesday 14 August 2012

Es dreht sich alles um... Glas (It's all about.... glass)


Ich genoss es sehr den Demonstrationsstand für die Ausstellung von Glas in der Nationalen Woche der Wissenschaft und Technik zusammenzustellen, da ich so viel über dessen Geschichte und die Technik seiner Herstellung entdecken konnte. Das Vergnügen hatte absolut nichts mit der Bewunderung für die schönen Artefakte zu tun!

Mein Demonstrationsstand und ich
Die ausgesuchten Objekte wurden chronologisch auf einer Zeitachse angeordnet, die die Entwicklung von Glasverarbeitungsverfahren und die Nutzung von Obsidian (das einzige natürlich auftretende Glas und aus Lavaschollen gebildet) bis hin zu modernen Glasschmuck widerspiegelt, dessen Herstellungsmethoden und die darin involvierten Farbstoffe vor über 2.000 Jahren entwickelt worden waren.

Die Römer waren diejenigen, die die Herstellung von Glas durch die Erfindung der Glasbläserei revolutionierten. Diese Technik funktioniert aufgrund von Atomen und Molekülen, die sich im geschmolzenen Glas frei bewegen und keine kristalline Struktur annehmen wenn es abkühlt, wie sie es in meisten Materialien tun würden. Die Struktur von abkühlenden Glas bleibt dehnbar und kann verändert werden indem eine Kugel durch ein langes Rohr hinein geblasen und das Glas in allerlei Formen gezogen wird bevor es erhärtet.

Die Glasbläsermethode wird noch heute angewendet und die Zusammensetzung von Glas ist der römischen Rezeptur ebenfalls sehr ähnlich. Diese besteht aus folgenden Elementen:

• Sand (Siliciumdioxid), der „Grundbaustein“. Nimmt 60-70% der Gesamtmasse ein.

• Natriumcarbonat, das „Flussmittel“. Nimmt 15% der Gesamtmasse ein und ermöglicht effizienteres Schmelzen.

• Kalk, der „Stabilisator“. Nimmt 10% der Gesamtmasse ein und ermöglicht eine haltbarere und chemisch resistente Mixtur.

• Bestandteile aus verformten, kaputten oder alten Glasgefäßen, das sogenannte „Altglas“, reduziert die Schmelztemperatur

• Diverse Fremdkörper und Farbstoffe nehmen die restlichen 5-10% der Masse ein

Diese Farbstoffe stammten normalerweise aus pulverisierten Metallen und trugen zur Kolorierung des Glases bei, welche auch noch heute sehr gebräuchlich sind. Zu den am häufigsten verwendeten Stoffen gehören:

• Eisen (Fe), welches ein blasses Blau, Flaschengrün, Bernstein oder Schwarz ergibt. Es wird häufig gebraucht, um Weinflaschen zu färben, allerdings wird Chrom (Cr) heutzutage öfter verwendet

• Mangan (Mn), zur Herstellung von gelben und violetten Glas und manchmal auch zum Entfärben genutzt - klares Glas war sehr kostspielig

• Kupfer (Cu), normalerweise genutzt um ein Blau, Grün, Rubinrot oder ein deckendes Rot zu erzeugen, aber meist bekannt für die Herstellung von Glas in türkisem Farbton

• Cobalt (Co), zur Erzeugung einer sehr satten dunkelroten Farbe, insbesondere bei Glas, das Pottasche enthält (verbranntes Holz und Adlerfarn)

Es kamen auch ungewöhnlichere Färbemittel vor, einschließlich Uran (U), welches ein fluoreszierendes Gelb ergibt und von Glasherstellern aus dem 19.Jahrhundert gebraucht wurde, die sich in Unkenntnis über seine Radioaktivität befanden.

Römisches Glas aus der Museumssammlung BATRM 2003.22.8

Es ist unglaublich, dass diese uralten Methoden und Zusammenstellungen in unserer modernen Welt immer noch weitverbreitet sind, aber was mir noch faszinierender erscheint ist das Konzept ihrer Erfindung - Ich frage mich, was jemanden dazu bewegen konnte ein Rohr in einen rot glühenden geschmolzenen Klumpen Sand zu stecken und hinein zu blasen?

Source text: http://bathsbloggers.blogspot.co.uk/2012/04/its-all-about-glass.html

Translated by Mirjam Zdybel - Cardiff University MA Tanslation Student.



Monday 13 August 2012

Connecting Collections - A Case of Translation


My name is Mirjam Zdybel. I have worked on a project involving the translation of Internet blogs for the Roman Baths Museum into my German mother tongue as part of my Master's programme in Translation Studies at Cardiff University. It has proven to be a difficult challenge, not only due to my unfamiliarity with the field of archaeology, but also due to the high pressure that went with it, because my texts ultimately became publicly accessible. However, the project was also a great opportunity to gain practical experience in translating for a real client and indeed, I thoroughly enjoyed the challenge. After Helen, the Collections Assistant at the museum, gave us an in depth briefing and lead us through the museum's exhibitions and behind the scenes, it was my task to conduct thorough research about every aspect mentioned in the blogs. It was absolutely crucial that I present all the terminology and facts accurately, and good time management was also necessary, as I had to work against a strict deadline. All in all, I can genuinely recommend choosing a training placement as part of a course, as I learned a great deal and because it gave me a valuable insight into the daily reality of a translator.’

Mirjam Zdybel, MA Translation Studies, Cardiff University

„Mein Name ist Mirjam Zdybel und ich arbeitete an einem Projekt, in dem ich Blogs des Roman Baths Museums in meine Muttersprache Deutsch übersetzen musste, als Bestandteil meines Masterstudiengangs in Übersetzungswissenschaft an der Universität Cardiff. Es stellte sich als große Herausforderung heraus, da ich nicht nur mit dem Thema Archäologe nicht sehr vertraut war, sondern auch aufgrund des Drucks, der auf mir lastete, da meine Texte anschließend für jedermann zugänglich gemacht wurden. Allerdings war das Projekt auch eine exzellente Gelegenheit um praktische Erfahrung im Übersetzen für einen richtigen Kunden zu sammeln und ich genoss die Herausforderung sehr. Nachdem uns Helen, Assistentin im Bereich Sammlung, detailliert in das Projekt eingeweiht und uns durch die Ausstellungen und hinter die Kulissen des Museums geführt hatte, lag es an mir jeden Aspekt, der in den Blogs angesprochen wurde, gründlich zu recherchieren. Es war strikt notwendig, dass ich alle Fachwörter und Fakten wahrheitsgemäß wiedergebe und dass ich meine Zeit genau plante, um meinen festen Abgabetermin einzuhalten. Zusammenfassend kann ich nur jedem empfehlen, einem Praktikum innerhalb des Übersetzungsstudiums nachzugehen, da es mir einen guten Einblick in den Arbeitsalltag eines Übersetzers bot und ich unglaublich viel lernen konnte.“

Mirjam Zdybel, MA Translation Studies, Cardiff University




Wednesday 8 August 2012

Part II – The life of Gladiatrix

Bronze statue of a female gladiator raising her sword in victory.
So, last time we were introduced to the idea of female gladiators and now we’ve got over the shock, we can start examining them in greater detail.

As I said last time, female gladiators may have fought with lighter equipment, but that doesn’t mean that their equipment was light. In fact it was probably very heavy and therefore our female gladiators, Amazon and Achillia, must have had some training.

But where? No ludus or gladiator school had facilities for women. It’s possible that ex-gladiators trained their daughters at home if they had no sons, but this is a very specific set of circumstances which doesn’t correlate with the number of female gladiators.

An alternative lies in the collegia invenum. These were youth societies for young aristocratic males which would have had all the appropriate training equipment.

This solution becomes even more palpable when it is considered that most female gladiators were wealthy ladies drawn in by the fame and glamour of the arena. The law of 22B.C (and several subsequent laws) appears to have done little to stop them competing. Indeed, the fact that such laws had to be rewritten and reintroduced several times over implies that they were constantly flouted.

It’s unlikely that there were many, if any, slave female fighters as it’s hard to imagine a female slave being sold to a ludus when there were other more ‘feminine’ options readily available. Therefore, most female gladiators were probably wealthy ladies and wealthy ladies were a common sight in the collegia.

So, that answers the questions of who they were and where they trained, but how many of them were there and how were they viewed?

There are a few preserved programmes of the games which mention female fighters and an inscription at Ostia highly praises its organiser for displaying them. In most cases the women were scheduled to fight in the late afternoon, otherwise known as the Roman ‘top spot’.

Placing them in this position suggests a measure of popularity. The Romans were great fans of novelty and probably hugely enjoyed the spectacle of female fighters.

This is, of course, only the common opinion. Wealthy authors have a great deal to say on the scandalous nature of female fighters. But then, they have a great deal to say on the scandalous nature of male gladiators too and yet the games remained immensely popular.

The surviving programmes coupled with scattered literary mentions also provide clues as to how many there were. The short answer is; few enough to be considered an unusual and spectacular event, but not so few that any appearance of them warranted a lengthy treatise on the genius of the organiser.

So, in summary, there were probably a fair few, they probably trained in the collegia invenum, were reasonably popular, and were mostly wealthy women.

Emma P.

Sources:

Coleman, C. (2000) ‘Missio at Halicarnassus’ Harvard Studies in Classical Philology, vol. 100, 487-5000

Kyle, D. (2007) Sport and spectacle in the ancient word. Oxford.

Murray, S. (2003) ‘Female gladiators of the ancient Roman world’, Journal of Combative Sport, (Electronic journals: http://ejmas.com/jcs/jcsart_murray_0703.htm)